Le 28erapport sur l’Etat du mal-logement de la Fondation Abbé-Pierre, rendu public le 1erfévrier, s’intéresse aux conséquences des inégalités de genre sur le parcours résidentiel. Toutes étapes de vie confondues, emploi, séparation, veuvage... la précarité des femmes reste supérieure à celle des hommes. Une situation qui affecte leur possibilité d'accéder à un logement décent.
« Etre une femme affecte considérablement les risques de subir diverses dimensions du mal-logement. » Dans son 28e rapport annuel, la Fondation Abbé-Pierre (FAP) consacre un chapitre aux inégalités générées par le genre. L’association entend documenter cette question, rarement considérée comme un facteur déclenchant ou aggravant du mal-logement.
Les femmes particulièrement touchées
Rendu public le 1er février, le document de 322 pages…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques