Dans un rapport publié le 7juillet, Dominique Simonnot, contrôleure générale des lieux de privation de liberté (CGLPL), observe le respect de l’intimité des personnes enfermées. La recherche de la sécurité entrave, à de nombreux égards, leurs droits fondamentaux.
Les conclusions du dernier rapport de la contrôleure générale des lieux de privation de liberté (CGLPL), publiées le 7 juillet, sont sans surprise : l'intimité des personnes enfermées est bafouée. Avec des situations variables selon les types d’hébergement : prisons, hôpitaux psychiatriques, centres de rétention administrative (CRA), locaux de garde à vue, centres éducatifs fermés (CEF), etc.
« Dans tous les lieux visités par le CGLPL, la conception des cellules ou des chambres facilite la visibilité des personnes par les professionnels. Seules les chambres des CEF font exception », indique l’autorité administrative indépendante.…
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