« Les professionnels pensent souvent ; “Je ne dois pas montrer ce que je ressens à l'enfant, ça ne le regarde pas”, ou bien : “Je ne veux pas risquer qu’il s’inquiète pour moi, c’est moi l’adulte”. Oui, c’est vous l’adulte. Nous sommes d’accord sur le fait que vous êtes responsable de la qualité de la relation avec les jeunes et que vous êtes garant de leur sécurité affective. Pourtant, lorsqu’ils perçoivent vos états internes et que vous leur faites croire que tout va bien, vous leur envoyez des signaux contradictoires.
En effet, si l’enfant vient vers vous parce qu’il pressent que quelque chose ne va pas, qu’il vous le signifie par un contact, un regard ou une question et que vous l’assurez que tout
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