Alors que la fin de la trêve hivernale a été repoussée au 31 mai et que l’ouverture de toutes les places d’hébergement d’urgence est maintenue jusqu’au 31 mars 2022 (lire notre article sur le sujet), les acteurs sociaux s’inquiètent du risque d’expulsions locatives à partir du 1er juin. D’après les estimations du Collectif associations unies (CAU) qui corroborent celles du rapport « Démoulin », plus de 30 000 ménages sont concernés.
« La crise sanitaire, économique et sociale a appauvri et aggravé la situation de nombreux locataires en difficulté pour payer leur loyer et leurs charges. La généralisation du télétravail et la baisse d’activité de nombreux services p
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