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Demandeurs d’asile LGBT+ : « Mon travail est fortement lié à celui des travailleurs sociaux » (Sophie Kerihuel)

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Sophie Kerihuel défend les demandeurs d’asile LGBT+ devant la Cour nationale du droit d’asile après que l’Ofpra leur a refusé le statut de réfugié.

Crédit photo Sophie Kerihuel
Avocate au barreau de Paris, Sophie Kerihuel défend les demandeurs d’asile LGBT+ devant la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) après que l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides) leur a refusé le statut de réfugié.
Quelles sont les difficultés propres aux demandeurs d’asile LGBT+ ?

Ils doivent affronter les stéréotypes. Il peut s’agir du caractère non efféminé d’un homme ou le fait qu’il soit marié car les juges ne comprennent pas toujours que les garçons homosexuels puissent avoir des enfants. La vigilance se porte aussi sur le vocabulaire qu’utilise le demandeur d’asile. Certains prononcent le mot « PD » , employé dans leur pays, il est donc important de leur expliquer que ce sont des mots inadaptés en France. L’attitude de la personne peut aussi poser problème, une absence d’émotion, par exemple, peut être mal perçue. Plus la personne est accompagnée en amont par des travailleurs sociaux,…
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