Il date du matin même. Un poème intitulé Lettre à ma mère. Trois pages de vers fraîchement lancées sur les réseaux sociaux, comme un puissant cri d’amour. « … Je ne suis rien sans la douceur de ton regard/ Je ne suis rien sans les éclats de ton sourire. […] Mère, Je suis désorienté sans les belles métaphores/ Je ne dors pas sous l’hivernage occidental… » Au détour d’une question, pour donner vie à ses propos, Falmarès s’est arrêté pour fouiller dans son portable et nous montrer son tout dernier texte, empreint de manque et de nostalgie. « Je l�
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