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Michèle Créoff : « On a plutôt tendance à sous-évaluer le danger » (IP 5/5)

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Selon Michèle Créoff : "majoritairement, les IP reçues sont bien ciblées et débouchent sur des informations préoccupantes qualifiées"

« Quand on ne compte pas, cela ne compte pas ».  La juriste Michèle Créoff s'inquiète de l'absence de statistiques fiables sur le nombre des informations préoccupantes.  Ellec souligne aussi les carences en matière de formation. 
Michèle Créoff est co-autrice, avec Françoise Laborde, des « Indésirables. Enfants maltraités : les oubliés de la République », ouvrage paru en 2021 (éd. Michalon) .Ancienne vice-présidente du CNPE (Conseil national de la protection de l’enfance), c'est aussi une juriste spécialisée en protection de l’enfance. La vice-présidente de l’association Union pour l’enfance décrypte l’évolution des informations préoccupantes.
 



Les informations préoccupantes sont-elles en hausse ?

Lorsque j’étais vice-présidente du CNPE, l’Observatoire national de la protection de l’enfance (ONPE) disposait des chiffres nationaux. Tous les départements connaissent leur nombre d’informations…
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