En pleine cinquième vague de l’épidémie de Covid-19, Dominique Simonnot, contrôleure générale des lieux de privation de liberté (CGLPL), alerte une nouvelle fois sur le manque de protection des personnes privées de liberté. « Pas un mot n’a été prononcé par les autorités sur la condition, pourtant très inquiétante, des prisons, des centres de rétention administrative, des locaux de garde à vue et des hôpitaux psychiatriques », signale-t-elle. Et ce, malgré les courriers qu’elle a adressés le 6 janvier dernier au ministre des Solidarités et de la Santé, à celui de l’Intérieur et au garde des Sceaux, les y interpellant sur l’urgence à agir pour que les droits fondamentaux des personnes enfermées soient respectés.
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