Dans un rapport remis le 31 janvier à Jean-Christophe Combe, ministre des Solidarités, l’inspection générale des affaires sociales (Igas) dresse un panorama des solutions de répit existantes. Constatant de nombreux freins à leur déploiement, l’institution formule 55 recommandations.
Missionnée par le gouvernement, en mars 2022, dans le but de faire évoluer le cadre juridique et financier de l’offre de répit pour les proches aidants, l’inspection générale des affaires sociales (Igas) a remis ses conclusions, mardi 31 janvier, à Jean-Christophe Combe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées. Dans son rapport, l’institution dresse un panorama des solutions de répit existantes, expose les freins à leur développement et formule 55 recommandations pour lever ces obstacles.
Priorité aux professionnels
Alors que 9,3 millions de personnes déclarent apporter une aide régulière…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?