Si la prise en charge de la santé mentale des personnes réfugiées représente un défi majeur dans les processus d’intégration, les moyens alloués pour l’assurer sont pour l'heure insuffisants. Tel est le constat du dernier rapport du projet européen National Integration Evaluation Mechanism (Niem). Le document produit par ce dispositif d’évaluation de l’intégration, intitulé « Une politique d’intégration à la mesure des enjeux ? », a été publié par l’association France terre d’asile.
Le manque de spécialistes en soins psychiatriques et psychologiques par rapport à la demande est également notable, « tout particulièrement dans les zones urbaines les plus denses ou dans les zones plus éloignées des grands centres urbains », précise l’étude. Autre limite : le refus
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