A Paris, Kabubu entretient la flamme des exilés
L’association Kabubu (« l’amitié par le sport », en swahili) est en quelque sorte une enfant de Paris 2024. Si la structure a grandi depuis sa création en 2018, elle est née d’une réflexion sur l’héritage des Jeux. Phosphorant dans le cadre d’un concours privé, ses futurs cofondateurs ont voulu lier sport et inclusion des exilés. Son activité a débuté à Paris avant d’essaimer à Lyon et à Strasbourg.
Chaque jour, l’association propose des séances de sport (1 000 l’an dernier) mêlant les exilés aux populations locales sans distinction de statut. Certaines sessions sont ouvertes à tous, d’autres se pratiquent en mixité choisie. On s’y inscrit sans obligation d’assiduité. Bas
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