La volonté du gouvernement d’ouvrir 15 000 nouvelles places de prison d'ici à 2027 et de durcir les politiques publiques préoccupe de nombreux professionnels. Une solution inefficace et délétère pour ces derniers qui plaident pour des aménagements de peine.
Les professionnels du secteur judiciaire ne décolèrent pas. En cause, la réaffirmation et l’annonce des sites retenus par le Premier ministre Jean Castex, pour la seconde phase du « Plan 15 000 places », proposé comme alternative à la surpopulation carcérale. Ce dispositif prévoit, depuis 2018, l’ouverture de 15 000 nouvelles places de prison d’ici à 2027.« La première réponse contre des conditions de détention indignes, c’est bien la lutte contre la surpopulation carcérale, et c’est l’objet de ce plan créant 8 000 places supplémentaires, s’ajoutant aux 7 000 déjà engagées », indiquait Jean Castex le 20 avril, à…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?