Après 12 jours de mobilisation sociale dans les centres pénitentiaires, le syndicat UFAP-UNSA (40 %) et la ministre de la Justice ont signé le 29 janvier un accord de fin de conflit sur quatre points principaux.
Le mouvement avait débuté à la suite de l’agression de trois gardiens de la prison de Vendin-le-Veil (Pas-de-Calais) par un détenu radicalisé, à l'appel de l'UFAP-UNSA, de la CGT et de FO. Après 12 jours de mobilisation des surveillants pénitentiaires, le syndicat UFAP-UNSA (40 %) et la ministre de la Justice ont signé le 29 janvier un accord de fin de conflit axé sur quatre points principaux.Afin de permettre une meilleure prise en charge des détenus radicalisés, Nicole Belloubet s’est engagée à :
dédoubler la capacité d’évaluation des détenus terroristes et radicalisés pour atteindre 250 détenus par an ;
mettre en place un quartier d’évaluation spécifique pour mesurer la dangerosité des détenus radicalisés de droit commun ;…
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