Le problème est désormais bien connu : un ménage qui recourt aux services à la personne bénéficie d’un crédit d’impôt couvrant 50 % de son reste à charge… mais il ne lui est versé que l’année suivante, ce qui limite l’attrait du dispositif. Certaines fédérations du secteur avaient provoqué un débat, en proposant un mécanisme dans lequel les banques avanceraient cette somme aux ménages. Et, si l'on en croit un article paru dans Les Echos, le lundi 13 novembre, le ministère de l’Economie et des Finances semble partager leur objectif... mais pas les solutions pour y parvenir.
Bercy envisagerait, en effet, un crédit d’impôt instantané
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