Un matin d’octobre, des membres de l’équipe de l’Union départementale des associations familiales (Udaf) de Haute-Corse allument leurs ordinateurs. Les sessions s’ouvrent normalement, mais les données dans les logiciels métier sont inaccessibles. Alerté, le directeur, Michel Stroppiana, suspecte une panne du serveur. Il sollicite le prestataire informatique, qui l’informe que l’association subit en réalité une cyberattaque : un fichier texte en anglais invite d’ailleurs à établir un contact par mail ou par tchat afin de récupérer les données cryptées… Face à ce chantage, le directeur de la structure a su garder la tête froide. Venant lui-même à l’origine du milieu informatique, il avait sauvegardé par précaution les données des majeurs pro
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