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MNA : l’insertion sous contraintes 2/4

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Les jeunes qui ne sont pas scolarisés viennent assister au cours de français dispensé par Manon, au sein du lieu de répit GR1 à Marseille

Crédit photo Edouard Hannoteaux
[ENQUETE] Traumatismes liés à l’exil, droit au séjour, populations allophones… Confrontés aux spécificités de ce public très vulnérable, les travailleurs sociaux chargés de l’accueil des mineurs non accompagnés font également face à des restrictions budgétaires qui accroissent la tension au sein des équipes et appauvrissent la qualité de l’accompagnement.

« Ils ont été violentés et malmenés, c’est un traumatisme. L’angoisse de la séparation, les départs forcés ou les trahisons engendrent des cauchemars et des insomnies. Quand certains font de la dépression, d’autres développent des addictions », témoigne Caroline Mercier, éducatrice référente au sein de l’établissement Bx Jean-Baptiste Scalabrini qui accueille 50 jeunes mineurs non accompagnés (MNA) à Vannes (Morbihan) (le dispositif dépend de la fondation des Apprentis d’Auteuil). « Mais c’est un public assez pudique qui ne nous sollicite pas forcément pour nous dire que ça ne va pas », précise-t-elle.

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