La publication du décret relatif à la réforme du Conseil économique, social et environnemental (Cese) suscite la colère des acteurs de la lutte contre la pauvreté et l’exclusion. Parmi les 175 nouveaux sièges prévus, seulement deux sont attribués aux représentants de cette partie de la population. C’est un de moins que lors du précédent mandat. Le collectif Alerte et ATD quart monde dénoncent une « sous-représentation » des personnes les plus démunies. Explications avec Marie-Aleth Grard, présidente d’ATD quart monde.
Actualités sociales hebdomadaires : Que craigniez-vous avec la nouvelle composition du Cese ?
Marie-Aleth Grard : Face à la situation actuelle, nous ne pouvions pas imaginer que le gouvernement décide de réduire le nombre de représentants des plus pauvres dans la troisième Assemblée de la République. Nous ne comprenons pas non plus…
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