LOVÉE DANS UN FAUTEUIL EN OSIER SUSPENDU AU PLAFOND, UNE FEMME D’UNE QUARANTAINE D’ANNÉES, le vendre rond, fixe l’horizon à travers l’immense baie vitrée. Lumières tamisées, petite musique douce, tapis en jute, larges poufs jonchant le sol… Il règne autour d’elle une atmosphère de sérénité. A quelques mètres de là, dans un bureau vitré jouxtant un espace aménagé en salon cosy, Nadège Liteau attend patiemment qu’elle ait repris ses esprits pour poursuivre l’entretien. « Certaines femmes arrivent au centre en état de choc. Il faut qu’elles puissent avoir un endroit pour se recentrer et retrouver un peu d’apaisement. Cette salle de ressourcement a été imaginée pour ça »,…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?