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Politique salariale : comment les associations partagent leur "valeur"

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Si elle est appréciée, la prime de partage de la valeur perd en popularité. Les demandes d’agrément chutent : 112 en 2021 contre 66 en 2024.

Crédit photo Adobe stock
[MANAGEMENT] Pour répondre à la crise de pouvoir d’achat, les structures du secteur social et médico-social ont versé, ces dernières années, des primes de partage de la valeur à leurs salariés, quitte à devoir puiser dans leurs fonds propres, faute d’appui des financeurs.

C’est devenu une habitude. La Fondation l’Élan Retrouvé verse chaque année une prime collective à ses salariés. La structure francilienne de 5 800 salariés, à cheval sur les champs du sanitaire, du handicap et du logement, s’est immédiatement emparée de la prime « Macron », créée fin 2019 en réponse à la crise des gilets jaunes et transformée depuis en « prime de partage de la valeur ». De 200 € à 600 € selon les niveaux de salaires en 2020, la Fondation a, en 2024, relevé le seuil à 300 €, jusqu’à un maximum de 1 100 €. Les syndicats en redemandent. « Nous versons la prime lorsque nous en avons les moyens. Dans notre politique, nous essayons d’être favorables aux salariés », précise Alexandra Boyer, la directrice générale de l’organisme.

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