Sous-directrice de la prévention et protection de l’enfance à Paris, Anne Devreese réclame des moyens alignés sur ceux des autres conseils nationaux du champ de la santé et des solidarités.
ASH : Vous alertez sur un fonctionnement du CNPE devenu très difficile. Quelle est la situation ?
Anne Devreese : Nous sommes privés de ressources depuis le début de 2025. Le poste de secrétaire général, décisif pour le Conseil, est bloqué depuis la décision prise en février, contre l’avis des présidentes des conseils, de ne pas renouveler le détachement de l’administrateur en poste.
Aujourd’hui, le CNPE fonctionne avec seulement 0,3 équivalent temps plein (ETP) d’assistante. Sur le budget comme sur les postes, nous atteignons des niveaux de restriction jamais vus. C’est extrêmement difficile, au point que je ne peux même pas vou
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