Le contenu du dernier rapport relatif aux politiques d’intégration de quatorze pays européens pointe les carences de la France en matière de prise en charge psychologique des réfugiés. Il appelle à la vigilance lors du développement d’alternatives gouvernementales d’accompagnement de ce public.
Si la prise en charge de la santé mentale des personnes réfugiées représente un défi majeur dans les processus d’intégration, les moyens alloués pour l’assurer sont pour l'heure insuffisants. Tel est le constat du dernier rapport du projet européen National Integration Evaluation Mechanism (Niem). Le document produit par ce dispositif d’évaluation de l’intégration, intitulé « Une politique d’intégration à la mesure des enjeux ? », a été publié par l’association France terre d’asile.Le manque de spécialistes en soins psychiatriques et psychologiques par rapport à la demande est également notable,…
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