Le tribunal correctionnel de Nice avait relaxé vendredi 13 juillet la responsable locale d'Amnesty International, Martine Landry, poursuivie pour avoir aidé deux mineurs étrangers à franchir la frontière franco-italienne (des faits susceptibles d'être qualifiés d'aide à l'entrée pouvant valoir jusqu'à 5 ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende, NDLR).
Cette décision de justice avait réjouit la militante, qui avait fait part de son "soulagement". Mais cette satisfaction aura été de courte durée. En effet, ce mercredi, Amnesty International et l’Association nationale d’assistance aux frontières pour les étrangers (Anafé) ont indiqué avoir appris "avec consternation" que le parquet de Nice avait fait appel du jugement, ce mardi 24 juillet.
"Cette décision me sidère. Je pensais pouvoir recommencer à vivre normalement, sans ép
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?