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Prévention spécialisée: quelle posture face aux trafics ? (2/6)

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[ENQUETE] Explosion de l’économie souterraine, mal-être des jeunes, tensions au sein des collèges… La prév’ doit, par essence, s’ajuster à des enjeux en constante mutation. Tour d'horizon des pratiques qui renouvellent notamment les formes de l’« aller vers ».

Plus structuré, plus lucratif, plus violent… Le trafic de stupéfiants impacte la dynamique des quartiers et, par ricochet, la pratique des éducateurs de rue. En augmentation de 6 % par an en moyenne depuis 2020 selon le ministère de l’intérieur, cette économie illégale ne cesse d’impliquer des mineurs. A Toulouse, sur 1 500 jeunes suivis par les éducateurs de la métropole, près des deux tiers se retrouvent inscrits dans un processus d’embrigadement lié à la consommation et au trafic de drogues.

Sur ses territoires d’intervention, la collectivité constate en moyenne un mort ou un blessé par arme à feu tous les deux mois. « On assiste dans le cadre de ces trafics à un rajeunissement et à une normalisation du rapport à la violence, constate Yannick Dignac, directeur des Jeunesses à la métropole, charg�

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