Alors qu'en France, le suicide constitue la deuxième cause de mortalité chez les jeunes, la Haute Autorité de Santé propose de « bonnes pratiques », pour accueillir, évaluer et orienter les enfants et adolescents pouvant présenter un risque à court, moyen ou long terme. « Il est important de ne pas banaliser les idées suicidaires et d’y apporter une écoute attentive pour trouver une réponse rapide et adaptée », souligne la HAS.
Parce que reconnaître et prendre en charge un enfant ou un adolescent à risque est délicat et « demande un engagement collectif », la Haute Autorité cite les « professionnels concernés » : médecins, inf
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