Le pacte d’ambition pour l’insertion par l’activité économique (IAE), remis au gouvernement il y a précisément un an, prévoyait la création de 100 000 parcours supplémentaires dans le secteur. Mais aujourd’hui, la Fédération des entreprises d’insertion s’inquiète du retard pris en dépit de la volonté politique affichée. La faute à de trop nombreux blocages administratifs, nous explique son président, Luc de Gardelle, pour qui il est urgent d’agir.
Actualités sociales hebdomadaires : Vous dénoncez le retard pris dans l’application des mesures en faveur de l’IAE, malgré une volonté politique affichée. Comment l’expliquez-vous ?Luc de Gardelle : Le sujet de l’inclusion est devenu central. Et il n’y a jamais eu tant de portage politique. Ni même de budget : 1 milliard d’euros, dont la conservation des crédits d’aide aux postes non consommés.…
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