« À la suite de l’entrée en vigueur de la réforme de l’évaluation des établissements et services sociaux et médico-sociaux (ESSMS) portée par la Haute Autorité de Santé (HAS), 28 associations, fédérations et unions des solidarités coordonnées par l’Uniopss (Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux) ont alerté, en février dernier, la Première ministre et le ministre des Solidarités sur le besoin urgent de compenser les surcoûts liés aux nouvelles modalités d’évaluation. Impliquée depuis la loi du 24 juillet 2019 dans les travaux de conception du référentiel commun aux 44 000 ESSMS, coordonnés par la HAS, l’Uniopss déplore qu’aucune solution ne soit apportée par le
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