Sous couvert de raisons diverses (fête familiale, maladie d’un proche…), de nombreuses fillettes et adolescentes sont obligées de rentrer au pays pendant les vacances d’été, avec parfois, au bout du voyage, le risque de subir une mutilation sexuelle. Afin de sensibiliser à ce fléau estival, les professionnels de santé de premier recours, la Haute Autorité de santé (HAS) remet en avant ses outils (fiches et arbres décisionnels) d’identification et de protection des patientes à risque.
L’institution publique indique : « Lorsqu’il a connaissance d’un voyage dans un pays où se pratiquent les mutilations sexuelles féminines (MSF), le professionnel doit poser des questions, notamment sur les motifs de ce voyage, ses modalités : “J’ai
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