Plusieurs fois épinglée dans le cadre de la Convention internationale des droits de l'enfant, la France a été auditionnée, les 9 et 10 mai derniers par le Comité des droits de l’enfant des Nations unies (Cide). Dans ses observations, publiées le 2 juin, celui-ci lui demande d’adopter « des mesures urgentes ».
Six priorités lui sont soumises :
- mener des actions pour protéger contre toutes les formes de violences : augmentation des ressources humaines, techniques et financières, définition claire des compétences des différents acteurs impliqués dans la protection de l'enfance ;
- veiller à ce que les décisions de justice en matière de protection de l’enfance soient appliquées de manière immédiate afin d’éviter les impacts irréversibles des maltraitances sur les enfants ;
- mettre un terme à la détention des enfants étrangers dans les zones d'attente et les centres de rétention administrative. Par ailleurs, le comité d
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