En mai dernier, l’Unicef exprimait déjà ses craintes au sujet du projet de loi pour la refondation de Mayotte. Un texte que l’organisation jugeait insuffisamment protecteur des droits de l’enfant. Quatre mois après la validation de cette loi, ses inquiétudes sont renouvelées.
Depuis les passages du cyclone Chido en décembre 2024 et de la tempête Dikeledi en janvier 2025, l’île connaît une crise humanitaire sans précédent : logements et établissements scolaires détruits, système de santé saturé, besoins criants d’accès à l’eau potable et à la nourriture… Si toute la population est touchée, les enfants « demeurent les premières victimes d’un cumul de crises sociales et climatiques », alerte l’Unicef rappelant que la moitié des habitants de ce
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