Dans une récente interview aux ASH, Hugues Vidor, président de l’Union des employeurs de l’économie sociale et solidaire (Udes), dénonce « le manque d’anticipation et de vision » des pouvoirs publics envers le secteur de l’aide à domicile. Réagissant sur LinkedIn à cette publication, Sandra Litvine, formatrice socio-éducative et famille d’accueil pour adultes handicapés, estime que « la crise actuelle du secteur est aussi la conséquence de la réforme du diplôme AVS/AMP pour devenir AES ». Elle s’en explique.
ASH : Qu'a changé la réforme (voir encadré) dans les faits ?Sandra Litvine : A l'époque, je formais à la fois des AMP (aides médico-psychologiques) et des AVS (auxiliaires de vie sociale). Même s’il y avait un tronc commun de formation, ce sont deux métiers différents.…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?