Face aux violences dans les foyers de l'enfance de Charente Maritime, Sylvie Marcilly, présidente du département, évoque un système « à bout de souffle ». Une situation qui met en danger les enfants accueillis et les professionnels qui les accompagnent.
Les éducateurs des foyers de l’enfance de Charente-Maritime, qui la semaine dernière, ont dénoncé dans une lettre ouverte, les violences subies au quotidien mais aussi les cas de violences sexuelles entre les mineurs accueillis, ont été reçus par le préfet, mardi 12 mars. Présente à cette rencontre, la présidente du département, Sylvie Marcilly, estime que des solutions existent au niveau local. Et qu'un combat est à mener au plan national.
Quel regard portez-vous sur la situation dans vos foyers de l’enfance ?
Sylvie Marcilly : Les éducateurs de nos foyers de l’enfance de Saintes et Puilboreau sont pleinement investis dans leur métier. Ils l’exercent par passion, par choix, et sont animés…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques