Ses mots jaillis d’un flot de réflexions critiques résonnent comme la plus belle des marques de respect. De celles qui se dessinent avec le temps, mesurant le chemin parcouru ensemble, sans négliger l’adversité ni les désaccords. « Si je m’en suis sortie, insiste Carole Le Floch, 52 ans, c’est grâce à mes mandats au Haut Conseil du travail social (HCTS) et à ses personnalités. » Et d’égrener les noms des membres et anciens membres à qui elle « doit beaucoup » : Marie-Paule Cols, Marcel Jaeger, Manuel Pélissié, Cyprien Avenel, Didier Dubasque ou encore Brigitte Bourguignon… Un témoignage de gratitude d’autant plus sincère que son autrice n’a rien d’une flagorneuse : courtiser les puissants et les institutions, très peu pour elle. « Ministre ou pas, je suis respectueuse envers tout le monde, du moment qu’on ne me c
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