Fournir une enquête loin de l’esprit polémique qui caractérise souvent les débats autour de la fraude aux prestations sociales, telle est la volonté affichée par Pierre Moscovici, entendu ce mardi 8 septembre à la commission des affaires sociales du Sénat. « Notre approche est celle de magistrats financiers, soutient en préambule le premier président de la Cour des comptes. Ce qui n’est pas possible de chiffrer de manière fiable, nous ne le chiffrons pas dans notre rapport. »
Réalisée sur saisine de la commission des affaires sociales, cette enquête a abouti à un rapport de 176 pages dont le bu
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