Elles font partie du même ministère, celui de la Justice, mais ne parviennent pas suffisamment à se coordonner. Peu préparées à la crise sanitaire, la direction de l’administration pénitentiaire (DAP) et la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) se sont bien adaptées, relève la Cour des comptes dans son rapport annuel. Mais la pandémie a « mis en lumière les faiblesses structurelles de l’organisation du ministère de la justice, notamment l’insuffisante coordination entre ses acteurs et avec leurs partenaires ».
A la DAP, un cordon sanitaire a été adopté très tôt pour prévenir les contaminations au sein des établissements pénitentiaires. Seulement voilà : par manque de communication, des éducateurs de la PJJ
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