« Je me sens étouffée. J’ai pas beaucoup d’espace pour dépenser mon énergie, donc je suis vite en colère. » Publié le 10 octobre par l’Unicef et le Samusocial de Paris, le rapport « Grandir sans chez-soi » entend mettre en lumière les effets de la précarité résidentielle sur la santé mentale des enfants. En s’appuyant sur le retour d’expérience des professionnels de terrain, les témoignages d’enfants sans domicile accompagnés par le Samusocial de Paris ainsi que des publications précédentes, les deux associations passent en revue les différentes façons dont l’absence de logement impacte les jeunes.
Premier constat : le lieu de vie ne constitue pas l’endroit protecteur et sécurisant qu’i
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