Recevoir la newsletter

Pourquoi l'Anmecs, la Cnape et le Gepso ont-elles préparé une proposition de loi ?

Article réservé aux abonnés

Les représentants des établissements d'accueil en protection de l'enfance alarment sur l'absence de normes d'encadrement.  

Crédit photo Marta NASCIMENTO
Les trois associations tirent une fois encore la sonnette d'alarme sur les risques que provoque l'absence d'un taux d'encadrement minimal assuré par des professionnels qualifiés dans un secteur en crise.   

D’abord le décret a été déposé sur le bureau d’Adrien Taquet. Puis sur celui de Charlotte Caubel. Pour finir par atterrir, récemment, sur la table de Sarah El Haïry. Sans que, d’un ministre chargé de la protection de l’enfance à l’autre, le texte élaboré pour établir un taux et des normes d’encadrement dans les structures d’accueil des enfants protégés, pourtant prêt depuis près de deux ans, ne soit jamais publié.

« C’est le fruit d’un travail de plus d’un an, issu de la collaboration de plusieurs organismes avec la DGCS (direction générale de la cohésion sociale), préparé en parallèle de la loi Taquet de 2022 », rappelle Alain Vinciarelli, président de l’Anmecs (Association nationale des maisons de l’enfant à caractère social).  Alors l’Anmecs, le Gepso (Groupe national des services publics sociaux et médico-sociaux) et la Cnape (Convention nationale des associations d

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Protection de l'enfance

Métiers et formations

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15