D’abord le décret a été déposé sur le bureau d’Adrien Taquet. Puis sur celui de Charlotte Caubel. Pour finir par atterrir, récemment, sur la table de Sarah El Haïry. Sans que, d’un ministre chargé de la protection de l’enfance à l’autre, le texte élaboré pour établir un taux et des normes d’encadrement dans les structures d’accueil des enfants protégés, pourtant prêt depuis près de deux ans, ne soit jamais publié.
« C’est le fruit d’un travail de plus d’un an, issu de la collaboration de plusieurs organismes avec la DGCS (direction générale de la cohésion sociale), préparé en parallèle de la loi Taquet de 2022 », rappelle Alain Vinciarelli, président de l’Anmecs (Association nationale des maisons de l’enfant à caractère social). Alors l’Anmecs, le Gepso (Groupe national des services publics sociaux et médico-sociaux) et la Cnape (Convention nationale des associations d
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?