Recevoir la newsletter

La Ciivise demande sa prolongation et fixe ses priorités

Article réservé aux abonnés

FRANCE-PARIS-MEETING-AGAINST SEXUAL VIOLENCE

En octobre 2024, lors de rassemblements organisés pour dénoncer les violences sexuelles, des manifestants appelaient au maintien de la Ciivise.  

Crédit photo Eric Broncard / Hans Lucas via AFP
La Commission sur l’inceste et les violences faites aux enfants (Ciivise) remettait le 4 mars à la ministre des Solidarités, Catherine Vautrin, un rapport sur la « stratégie de bascule dans le droit commun  ».

C’était inscrit dans sa lettre de mission, en avril 2024. Avant sa dissolution, prévue en octobre prochain, la Commission indépendante sur l’inceste et les violences faites aux enfants (Ciivise) devait formuler des propositions pour intégrer le droit commun et mettre ainsi fin à sa propre existence. Une demande jugée « atypique » par le collège directeur de l’institution. Qui choisit d’y répondre de manière tout aussi atypique. Il réclame ainsi un sursis, pour « préparer de manière ambitieuse et sereine la bascule dans le droit commun ».

>>> A lire aussi : Quel avenir pour la Ciivise version 3 ?

Aussi, son rapport, remis le 4 mars à la ministre des Solidarités Catherine Vautrin, ne se borne-t-il pas « à identifier des solutions administratives ». Il cherche, souligne la com

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Protection de l'enfance

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15