C’était inscrit dans sa lettre de mission, en avril 2024. Avant sa dissolution, prévue en octobre prochain, la Commission indépendante sur l’inceste et les violences faites aux enfants (Ciivise) devait formuler des propositions pour intégrer le droit commun et mettre ainsi fin à sa propre existence. Une demande jugée « atypique » par le collège directeur de l’institution. Qui choisit d’y répondre de manière tout aussi atypique. Il réclame ainsi un sursis, pour « préparer de manière ambitieuse et sereine la bascule dans le droit commun ».
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Aussi, son rapport, remis le 4 mars à la ministre des Solidarités Catherine Vautrin, ne se borne-t-il pas « à identifier des solutions administratives ». Il cherche, souligne la com
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