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Projet personnalisé et travail de rue : le principe du "Working first" (2/4)

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Quentin et Aminah des  jeunes encadrés par un éducateur d'Oppelia repeignent du mobilier urbain de Nantes-métropole en centre-ville de Nantes (place Anne de Bretagne), dans le cadre d'un chantier TAPAJ. Il  s'agit d'un programme de remobilisation, valorisation et réinsertion de jeunes en situation d'addictions qui s'appuie sur des missions courtes de travail avec contrat et salaire, en partenariat avec des structures de l'IAE. Le principe même du "Working first"

Crédit photo Amandine Penna
La posture de « l’aller vers » et de la libre adhésion, que l’on retrouve entre autres chez les professionnels de la prévention spécialisée, oblige à envisager le projet en aval. Jamais comme un préalable.
 
 

L’intervention sociale extra-muros – le travail de rue – par essence n’est pas assujettie à l’obligation de mener un projet personnalisé. Née avec les premières interventions d’équipes en prévention spécialisée, dans les années 1950 en France, elle pratique « l’aller vers » les populations les plus marginalisées, les plus en retrait des accompagnements, mais respecte également les principes d’anonymat et de libre adhésion. Pour ces publics hors des radars des institutions (sans-abri, jeunes en voie de marginalisation, personnes concernées par les addictions, travailleurs du sexe), il ne peut être question de leur imposer une logique de projet comme un préalable…
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