Révélée par petites touches durant l'été, la mesure est désormais confirmée : environ 320 000 contrats aidés devraient être financés en 2017, loin des 459 000 de 2016, du fait d'une restriction budgétaire au second semestre. A l'approche de la rentrée, la pluie des communiqués de protestation s'intensifie.
L'UDES dit avoir reçu "ces derniers jours, des témoignages alarmants d’associations qui, sans les contrats aidés, se voient dans l’impossibilité de pérenniser des postes". "Si le secteur sanitaire et social semble constituer une priorité dans les prochains arbitrages du gouvernement, d’autres secteurs de l’économie sociale et solidaire [ESS] comme l’animation, l’éducation, le sport, le tourisme social et l’aide et soins à domicile, seront durement touchés" par cette mesure, s'inquiète-t-elle.
De graves difficultés à venir pour les associations
La limitation du dispositif envisagée "aurait de graves conséquences, non seulement sur l’activité et les fin
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