Des syndicats qui pratiquent le jeu de la chaise vide. Des organisations patronales qui ne parlent plus entre elles que par communiqués de presse interposés, quand ce n’est pas à coups d’invectives sur les réseaux sociaux… La situation au sein de la branche du service à la personne est sous haute tension depuis près de deux mois.
En cause : l’accord sur la prévoyance, signé le 28 février dernier par deux des organisations d’employeurs (Fedesap et FFEC*) et les quatre syndicats de salariés représentatifs (CGT, CFDT, FO et CFTC), adressé dans la foulée à la direction générale du travail (DGT) pour examen avant agrément. Mais contre lequel les deux organisations patronales non-signataires (FESP et Synerpa) menac
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