Difficile, lorsque l’on est un acteur majeur de la cohésion sociale, de se prêter à l’exercice de la prospective à court terme dans un contexte politique immédiat totalement incertain. Pour un groupe comme SOS, qui a fait du slogan « l’immigration est une chance » depuis près de quatre décennies, voir Jordan Bardella s’installer à Matignon après le 7 juillet sonne comme une alerte rouge. Comment accepter une telle perspective pour un groupe qui en janvier dernier a ferraillé contre le texte de loi immigration-intégration-asile port�
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