« Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés. » C’est par cette formule, héritée de Jean de La Fontaine, que Daniel Goldberg, le président de l’Uniopss, résume la situation. « Toutes les associations, quels que soient la taille, le secteur d’activité, la zone géographique, traversent aujourd’hui des difficultés économiques. »
En l’espace de quelques semaines, des associations de poids ont annoncé une série de licenciements. En Bretagne, Don Bosco, très présente dans la protection de l’enfance et le handicap, prévoit de supprimer 55 postes – sur un bon millier de salariés – pour éponger un déficit de 1,8 million d’euros. Un dispositif a fermé cet été, six autres devront s’arrêter d’ici la fin de l’année.
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Au-delà d’une éventuelle mauvai
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