Le tribunal administratif de Paris statue sur les différents points du référé-liberté déposé par une coalition de collectifs et d’associations le 27 mai dernier. En première instance, la justice a retenu la majorité des requêtes qui portent sur les situations sanitaire et sociale des habitants des campements de Seine-Saint-Denis.
Accès à l’hébergement, accès à l’eau effectif et suffisant, arrêt des démantèlements et des expulsions sans mise à l’abri des personnes,… Telles étaient les demandes répertoriées au sein du référé-liberté déposé le 27 mai dernier au tribunal administratif de Paris par seize associations et collectifs.Le signalement concerne les campements situés au niveau du pont de Stains, du pont de Landy et du bassin de la Maltournée basés sur les communes de Saint-Denis et d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), le long du canal Saint-Denis. Par ordonnance en date du 5 juin, la juridiction demande aux deux mairies l’installation…
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