Ces femmes ont dû quitter leur hébergement à l’hôtel sous huit jours après avoir été informées par la préfecture. A l’initiative de la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS) et de la FNSF, le secteur s’est mobilisé contre cette décision jugée d’une « très grande brutalité » et contraire aux engagements publics du gouvernement sur les violences faites aux femmes.
Ils étaient plus de 200 à se retrouver au métro Jean Jaurès, à Toulouse, le 6 juillet. A l’appel de la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS) et de la Fédération nationale Solidarité femmes (FNSF), des professionnels se sont mobilisés pour dénoncer la décision des services de l’Etat de mettre fin à l’hébergement à l’hôtel de 33 femmes victimes de violences conjugales.Prévenues tour à tour, depuis…
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