Ils étaient plus de 200 à se retrouver au métro Jean Jaurès, à Toulouse, le 6 juillet. A l’appel de la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS) et de la Fédération nationale Solidarité femmes (FNSF), des professionnels se sont mobilisés pour dénoncer la décision des services de l’Etat de mettre fin à l’hébergement à l’hôtel de 33 femmes victimes de violences conjugales.
Prévenues tour à tour, depuis mi-juin, ces femmes ont reçu un courrier de la préfecture de Haute-Garonne les informant qu’elles devaient quitter leur chambre dans un d
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