De la désobéissance civile aux recours juridiques, depuis l’adoption par le Parlement le 19 décembre de la loi sur l’immigration, plusieurs acteurs politiques, syndicaux et associatifs traduisent en actes leur opposition à cette loi.
L’annonce de la démission d’Aurélien Rousseau, ministre de la Santé, aura constitué la première action contestataire. A la suite des gestes forts de personnalités politiques en réponse à l’adoption du projet de loi « pour contrôler l’immigration, améliorer l’intégration » adopté par le Parlement le 19 décembre, les professionnels du secteur de l’asile et de l’exclusion et leurs représentants passent à l’offensive. A commencer par le départ de Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS), d’une réunion organisée le 20 décembre, consacrée à l’aide alimentaire en faveur…
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