Alors que le nombre de femmes qui s’adressent aux CIDFF ( Centres d'Information sur les droits des femmes et des familles) augmente chaque année, ces structures sont aujourd’hui dans l’obligation de réduire drastiquement leur activité. La faute au gouvernement qui a décidé d’étendre la prime Ségur aux salariés du secteur sanitaire, social et médico-social privé, mais sans assurer la compensation de ces charges supplémentaires (2 millions d’euros).
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Résultat : moins d’un an après cette décision, le réseau est en grave difficulté. Certes, le 22 janvier dernier, un amendement au projet de loi de finances pour 2025 visant à garantir la compensation par l’Etat de l’extension de cette prime aux salariés des associations spécialisées dans l’accompagnement des femmes victimes de violences a été adopté au S�
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