Il ressort du rapport de la DGCS que "l’impact sur le taux de pauvreté [du dispositif] est estimé à -0,4 point". En d’autres termes, la prime d’activité est plus efficace pour diminuer la pauvreté que ne l'était le duo RSA activité - prime pour l’emploi. Cependant, elle concerne peu les foyers les plus pauvres, qui sont souvent inactifs.
La DGCS relève un "taux de recours plus élevé qu’anticipé" : dès sa première année d’existence, la prime d’activité a concerné "5,14 millions de personnes", soit 7,7 % de la population totale vivant en France. Cette moyenne recouvre des disparités importantes : dans 25 départements, ce taux dépasse 8,4 %.
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