Alors que la maladie d’Alzheimer nécessite une prise en charge pluridisciplinaire, la place des aidants reste, pour l’heure, primordiale. Au risque qu’ils s’épuisent comme le montrent de nombreuses études. L’association France Alzheimer des Alpes-Maritimes, répondant à un appel à projets de l’Agence régionale de santé-Paca, expérimente, depuis avril 2021, le dispositif « Temps libéré ». Entièrement gratuit (hors l’adhésion à l’association de 40 € annuels), il s’appuie sur la plateforme de répit et l’accueil de jour existante. Mais à l’inverse de ces deux services, le dispositif vise le proche, et non le patient. « Le but est d’offrir un espace de liberté à l’aidant en venant sur place », précise Maéva Mahieux-Caccamo, coordinatrice du projet.
Une psychologue réalise un état des lieu
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