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« L’adoption transnationale est une migration forcée »

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Réalisatrice des documentaires Ouvrir la voix et Une histoire à soi, la sociologue et militante Amandine Gay est l’auteure d’Une poupée en chocolat (éd. La Découverte, 2021).

Crédit photo Otto Zinsou
Née sous X, Amandine Gay, réalisatrice et sociologue, qui se définit comme afroféministe, a été adoptée à l’âge de 5 mois par un couple blanc. Partageant sa vie entre recherche, création et militantisme, l’adoption s’inscrit, selon elle, dans une histoire de domination et de violences.
Actualités sociales hebdomadaires - Quand avez-vous commencé à questionner l’adoption ?

Amandine Gay : Mon regard et mon analyse politique ont commencé à l’âge adulte, à partir du moment où j’ai démarré mes recherches sur mes origines. Mais, au départ, j’ai travaillé sur la question raciale. C’est l’enjeu qui a été le plus prégnant dans mon histoire d’adoption. Ma famille de naissance n’a pas rempli une très grosse charge dans mon imaginaire. Ce n’était pas mon souci principal. J’ai grandi dans la campagne lyonnaise dans les années 1980-1990, où mon frère et moi étions…
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