Publiée le 30 mars, l’enquête menée conjointement par la Fondation Abbé-Pierre et l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne témoigne de l'impact des expulsions locatives sur la trajectoire de vie des ménages qui en ont fait l’expérience.
Comme chaque année, la fin de la trêve hivernale marque la reprise des expulsions locatives. Après deux ans de report en raison du contexte sanitaire, son effectivité est à nouveau actée au 31 mars 2022. Dans leur dernière étude, la Fondation Abbé-Pierre et l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne se sont interrogées sur les conséquences de ces expulsions. Leur enquête, « Que deviennent les ménages après l’expulsion de leur domicile ? », montre que 32 % des familles interrogées n’ont pas retrouvé de logement et vivent à l’hôtel, chez un tiers ou dans un lieu de vie informel une à trois années après leur mise à …
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